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endant un temps, la 광주오피주소possibilité de recycler le Requip pour qu'il devienne une sorte de stimulant sexuel a même été envisagée. Un chercheur new-yorkais a lancé une étude(Nouvelle fenêtre) en 2006 sur le Requip, non pas pour traiter la maladie de Parkinson mais la dysfonction sexuelle de patients sous antidépresseurs. Le laboratoire GSK est inscrit comme "contributeur" de l'étude. Cela signifie que dès 2006, GSK est au courant que des recherches sont menées pour découvrir si le Requip pourrait devenir une sorte de nouveau Viagra. L'effet secondaire de son médicament anti-parkinsonien est perçu comme positif et ouvre la voie à une nouvelle exploitation commerciale.

Cela n'aura finalement pas lieu mais cela révolte quand même Sophie Maltet, l'avocate des deux malades de Parkinson qui demandent aujourd'hui des comptes à GSK. Elle s'émeut de "cette espèce de cynisme du laboratoire qui semble plus enclin à exploiter la période dite de 'lune de miel' de son médicament qui provoque une sexualité exacerbée. On devrait interroger beaucoup plus souvent les conjoints des personnes qui prennent le Requip pour savoir si véritablement cette lune de miel a duré longtemps ou si au contraire, on n'est pas passé dans le cauchemar des agressions sexuelles ou du viol quotidien".

Une femme sexagénaire, dont le mari malade de Parkinson était sous traitement dopaminergique, a effectivement vécu un calvaire. "Dès le lendemain de la prise du médicament, mon mari qui était devenu très fatigué avec la maladie a retrouvé un punch incroyable. Et c'est comme ça que les viols ont commencé, puisque c'est comme ça que ça s'appelle, même si on n'en parlait pas à l'époque. C'était avant 'Me too'. J'ai même parlé de ces pulsions sexuelles au médecin qui suivait mon mari. Il m'a répondu  : 'le mariage, c'est pour le meilleur et pour le pire'" , raconte cette femme à condition de ne pas dévoiler publiquement 대구오피주소son identité