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Sa conférence de presse sur la politique internationale, le 7 janvier, en témoigne. Il a alors successivement abordé l'idée de renommer le golfe du Mexique et la possibilité d'annexer le canal du Panama et le Groenland. Dans son habituel rejet des conventions, le président élu "a abandonné la coutume consistant à rester discret, face à un président sortant toujours en exercice", résume David Smith.
Ce n'est pas le seul protocole dont le milliardaire s'est affranchi. Jusqu'à fin novembre, il a refusé de signer les engagements éthiques et autres documents juridiques, habituellement paraphés par les candidats à la présidence des Etats-Unis avant même le scrutin. Il a aussi longtemps rechigné à laisser le FBI vérifier les antécédents des futurs membres de son administration. "Ce retard n'aura pas forcément de conséquences, mais il illustre la manière dont Donald Trump fait tout : chaotique et tapageuse", analyse Hans Noel.
"Non seulement Donald Trump n'a pas confiance dans les institutions et l'ordre établi, mais en plus il 토토사이트s'en moque."
Hans Noel, politologue à franceinfo Pour preuve, ses choix de futurs ministres. En 2016, son "manque de préparation" pour gouverner lui avait valu de "devoir improviser et faire des compromis" avec la vieille garde du Parti républicain, souligne Lauric Henneton. Les désaccords au sein de l'administration avaient mené à une série de démissions et de limogeages dans les premiers mois, mais aussi à une forme de "résistance" au sein de son propre gouvernement. "Des collaborateurs enlevaient certains documents de son bureau" et d'autres responsables, "choqués de ses méthodes", organisaient des fuites dans la presse, se remémore David Smith.
Des "ballons d'essai" avant de revenir au pouvoir Cette fois, son élection a été très vite suivie par "un tourbillon de nominations, d'abord plutôt cohérentes – sa conseillère Susan Wiles comme cheffe de cabinet, le sénateur Marco Rubio comme secrétaire d'Etat", détaille Lauric Henneton. Puis sont venus les "trublions" : Robert Kennedy Jr., antivax assumé, à la Santé, Tulsi Gabbard, ancienne démocrate pro-russe, à la tête du renseignement, ou encore l'ex-patronne de la fédération américaine de catch, Linda McMahon, à l'Education.