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2025년 1월 20일 (월) 15:00 기준 최신판
Leur objectif est évidemment 광주오피주소de montrer la bonne foi du laboratoire. Et peut-être aussi de noyer un peu l'avocat sous cette masse de documents… Mais c'est l'inverse qui s'est produit. Parmi ces dossiers, le conseil de Didier Jambart trouve un document interne à GSK qui date d'octobre 2003, intitulé "Ropinirole [le nom de la molécule du Requip, ndlr] – Cas rapportés d'augmentation de la libido".
Le laboratoire fait état du cas d'un homme de 63 ans sous Requip : "Onze mois après le début du traitement par ropinirole, le patient a commis une agression sexuelle (acte de pédophilie sur une fillette de 7 ans), pour laquelle il a été emprisonné. (…) La dose de ropinirole a été réduite à 6 mg par jour, dans la perspective d'arrêter le traitement. Le problème de libido du patient a ensuite disparu" .
"Cela montre comment GSK minimise les effets indésirables en jouant sur le terme de libido. Ce document prouve qu'en 2003, le laboratoire savait et pourtant, à l'époque où mon client prend le médicament, il n'y a rien", commente l'avocat Antoine Béguin. Il parvient à faire condamner GSK en appel en 2012. En l'occurrence, à verser 200 000 euros d'indemnisations à Didier Jambart. À nos questions, GSK répond simplement qu'"au-delà des informations disponibles dans le Résumé des Caractéristiques du Produit (RCP) [dans la notice, donc NDLR]", il n'a "pas 대구오피주소d'autres éléments à partager".